« Je suis très heureux et honoré d’être récipiendaire d’une bourse doctorale de la Fondation canadienne d’ergothérapie. Il s’agit d’une reconnaissance incroyable par mes pairs.
J’en suis à ma 4eet ultime année de doctorat en sciences cliniques à l’Université Laval. Au 3ecycle, il faut apprivoiser l’incertitude, continuellement sortir de notre zone de confort, entretenir notre motivation et jongler avec des niveaux fluctuant de confiance en nos aptitudes. Toutefois, des reconnaissances comme celles offertes par la COTF permettent d’alléger ce parcours et contribuent à faire de mon doctorat une expérience unique, enrichissante et incroyablement stimulante.
Je suis choyé d’être pleinement engagé dans un projet de recherche qui me tient à cœur. J’ai aussi le privilège d’être boursier de la COTF pour la 3efois depuis le début de mes études supérieures. Via son soutien, la COTF me donne réellement le moyen de mes ambitions : permettre aux ergothérapeutes se distancer du paradigme biomédical et d’adopter des pratiques innovantes visant l’affiliation, la participation sociale et la réintégration à la communauté des personnes avec une sclérose en plaques ou une blessure médullaire.
Merci encore à la COTF, au comité d’évaluation et aux généreux donateurs! »
Samuel Turcotte
J’en suis à ma 4eet ultime année de doctorat en sciences cliniques à l’Université Laval. Au 3ecycle, il faut apprivoiser l’incertitude, continuellement sortir de notre zone de confort, entretenir notre motivation et jongler avec des niveaux fluctuant de confiance en nos aptitudes. Toutefois, des reconnaissances comme celles offertes par la COTF permettent d’alléger ce parcours et contribuent à faire de mon doctorat une expérience unique, enrichissante et incroyablement stimulante.
Je suis choyé d’être pleinement engagé dans un projet de recherche qui me tient à cœur. J’ai aussi le privilège d’être boursier de la COTF pour la 3efois depuis le début de mes études supérieures. Via son soutien, la COTF me donne réellement le moyen de mes ambitions : permettre aux ergothérapeutes se distancer du paradigme biomédical et d’adopter des pratiques innovantes visant l’affiliation, la participation sociale et la réintégration à la communauté des personnes avec une sclérose en plaques ou une blessure médullaire.
Merci encore à la COTF, au comité d’évaluation et aux généreux donateurs! »
Samuel Turcotte